Il revint alors à l'esprit du caporal
un épisode du passé durant lequel il avait dû prouver sa virilité dans un sexfight. Il y avait dans son unité une femme qui effrayait tous les hommes après qu'elle ait implacablement vidé les
couilles de deux étalons connus pour leur capacité à baiser des filles durant des heures. Après leur rencontre avec l'adjudant Martine Dubois, qui était par ailleurs une bodybuildeuse
confirmée, leur confiance dans leur endurance avait sérieusement diminué.
C'était pour les hommes de l'unité une question
d'honneur de rétablir leur prédominance, et Stan et Martine se retrouvèrent bientôt dans une réserve de la base pour régler le sujet une bonne fois pour toute. Après une lutte acharnée qui
laissa la réserve dans le chaos le plus complet et les corps des deux adversaires couverts de sueur, Stan réussit à bloquer Martine dans un 69, et commença à lui faire un cunnilingus. Il
était sûr de pouvoir ainsi la faire jouir rapidement, l'emportant dans un tourbillon d'orgasmes, tout en remplissant dans le même temps sa bouche avec sa queue
massive.
Le
militaire savait qu'il pouvait résistait à une fellation pendant des heures, il avait assez de contrôle de lui même pour cracher sa semence seulement lorsqu'il l'avait décidé.
Sa première surprise fut de voir que Martine réussit sans difficulté à rentrer l'intégralité de sa queue épaisse dans sa bouche. Et la pipe qu'elle lui fit était si bonne que Stan en
eut presque les yeux qui lui sortaient des orbites. Quand il accrut en toute hâte les mouvements de sa langue dans la chatte de son adversaire, il sentit les cuisses musclées de Martine
commencer à serrer sa tête comme dans un étau.
Stan avait perdu son air sûr de lui, mais n'était
pas encore vraiment paniqué. Il utilisa ses bras puissants pour briser l'étau qui le tenait prisonnier. A ce moment, Martine introduisit son index dans l'anus du soldat laissé sans
protection. Avec une grande habilité elle commença à masser un point qui n'avait jamais été encore effleuré. Chaque passage de son doigt déclenchait en lui des vagues de plaisir insoutenable
qui parcouraient tout son corps. Maintenant, la panique l'avait envahi. Se débattant désespérément, il réussit à libérer sa tête, mais sentit aussitôt les jambes de la bodybuildeuse se
resserrant autour de son torse, le bloquant à nouveau.
Il était désormais à la merci de son adversaire,
sans aucune chance de pouvoir atteindre à nouveau la chatte de la bodybuildeuse pour renverser la vapeur. Très vite, les massages experts que Martine lui appliquait dans le rectum comme
la fellation qu'il subissait devinrent insupportables. "Oh, oh, oh uuuuh". nnngg", les grognements commençaient à monter de la bouche de Stan.
La résistance du caporal céda soudain sous les coups
d'une avalanche de plaisir, et l'instinct reprit le dessus. Les hanches de Stan commencèrent à s'agiter, sa vue se brouilla et sa bite lâcha une énorme dose de sperme chaud dans la gorge
de Martine.
En dépit de ce mauvais début, ce fut son endurance
qui le sauva à la fin. Il récupéra très rapidement après avoir craché son jus et pris Martine en levrette avant qu'elle ne se rende compte de ce qui lui arrivait, lui arrachant à force de
coups de reins l'orgasme de sa vie.
Penser à cet épisode accrut les contractions dans le bas ventre de Stan, et son sexe commença à s'agiter de plus en plus. Ses yeux bleus pleins de confusion croisèrent ceux de son
frère.
Paul comprit immédiatement ce qui se passait dans la
tête de son aîné. Il commença à sucer son téton droit tout en caressant ses larges épaules. "Ah"." un gémissement involontaire s'échappa cette fois des lèvres du militaire. Ils
entendirent finalement les pas de Aurélie s'éloigner dans le couloir.
"Ah tu es un mec sensible des pecs ! C'est cool ça !
" Paul souriait, alors que ses doigts s'activaient sur les deux tétons désormais durs comme de la pierre. Il savait qu'il était entré dans le système sexuel de son frère, et que ce n'était
qu'une question de temps avant qu'il soit complètement à lui. "Tu sais, il y a beaucoup de mecs sensibles des tétons" lui expliqua t-il avec un air scientifique, alors qu'il lui massait le
torse.
"Si on fait ça bien, on peut même faire jouir un mec
sans lui toucher le sexe."
"Pas
question ! " hurla Stan. Le militaire essayait de reprendre ses esprits et de mettre à l'abri ses tétons. Il réussit à se positionner sur le ventre. Bite et pectoraux à l'abri pensa t-il. Un
moment plus tard, il réalisa que les ennuis venaient juste de commencer.
L'athlète se figea quand il sentit que l'on écartait ses fesses. Les sensations du doigtage que lui avait administré Martine remontèrent à la surface et il réalisa que cela
pouvait être la fin pour lui. Il lui fallait trouver un moyen de distraire son frère. "Pourquoi tu ne te trouves pas un mec de ton âge ?" Alors qu'il essayait d'établir ula conversation, Paul
déposa sur son anus un rapide coup de langue.
"PUTAIN ARRETE CA MAINTENANT !". Stan
essayait désespérément de se remettre sur le dos, mais son frère le maintenait sur le ventre, plantant ses ongles dans ses fesses et le poussant de toutes ses
forces.
"Tu as peur que je puisse te baiser c'est ça ? Ce
serait sympa en effet. J'ai fait ça à plein de mecs avant, mais j'aimerai que toi tu jouisses dans mon cul et pas dans tes draps. Alors détend toi et profite
"
Paul enfonça alors son visage entre les fesses
musclées de son frère et lui lécha le trou du cul malgré ses protestations. Contre sa volonté, les hanches de Stan commencèrent à s'agiter dans un va et vient
suggestif...
"Oh merde, merde ! Tu ne peux pas me faire ça...Oh
putain...non...Uungh... huuuh... aarggh!......"
Doucement, Paul caressa les couilles de son frère,
et laissa ses ongles s'égarer sous le gland très sensible de son aîné.
"Putain, barre toi ! arrête ça...." hurlait Stan de
rage. Des ondes chaudes et froides commençaient à parcourir sa colonne vertébrale. Le sang gonfla sa queue, qui répondait volontiers aux sollicitations expertes de Paul. Le caporal enfonça
son visage dans l'oreiller et essaya d'ignorer les sensations que sa bite envoyaient à son cerveau. Paul continuait à stimuler l'étalon avec de longs mouvements lents de ses doigts sur son
membre.
"Nnnnnggggg...uuuuuuuuuhhhhhhh...nnnnooooonnn", Stan
résistait de plus en plus difficilement. Ses dents mordaient le coussin. Paul observait ce mec merveilleusement musclé se débattre sous lui. La queue du militaire était maintenant en pleine
érection, et des gouttes de precum commençaient à couler de son gland violacé. Stan savait qu'il devait réagir avant que son pd de frère ne le trait comme une vache.
"Huh huh Ok...tu as gagné" lâcha Stan. Paul souriait
: "que veux tu dire frérot ?"
"Je te baise si c'est ce que tu veux" répondit Stan
bien embarrassé.
Bien que Paul soit un peu méfiant, il arrêta de masser la queue de son frère et se leva. Stan était soulagé. Ce gay était vraiment stupide, ça allait être plus facile que prévu. Il était
tombé dans le piège. Paul coupa le scotch qui entravait Stan et retira la batte de baseball.
Stan se mit à genoux et présenta aussi ses poignets
à son frère pour qu'il le libère, mais Paul ne voyait pas les choses comme ça. Il fit face à son frère et vit avec satisfaction que la queue du militaire se dressait toujours fièrement devant
ses abdos sculptés.
Stan avait du mal à conserver son calme. "Qu'est ce
que tu attends ? J'ai dit que j'abandonnais, libère moi maintenant !" grognait le caporal avec impatience. Ses muscles se contractaient pendant qu'il se débattait pour déchirer le scotch qui
emprisonnait ses poignets. Au même moment, il tenta de se relever, mais c'était justement ce que Paul attendait. Ses mains enserrèrent le cou musclé. Le militaire gueula
de colère et trébucha. Paul cibla le sexe toujours en érection de son grand frère. D'un mouvement parfait, il positionna son cul face à la bite de Stan, et jeta tout son poids en
arrière, réussissant à faire entrer facilement le long bâton dans son cul.
Stan eut le souffle coupé quand il sentit cette
incroyable sensation : sa queue était littéralement emprisonnée dans l'étau des sphincters de son petit frère. L'étalon essaya de résister furieusement. "Arrête ça putain de pervers
!!'
Les muscles du militaire s'agitaient sous sa peau.
Son corps entier suintait la transpiration et une odeur animale remplit la pièce. Stan ressemblait à un prédateur sexuel sans équivalent, hormis le fait que cette fois ci, il était
devenu lui même la proie de son frère gay. Ses biceps puissants se gonflaient ; et la sueur couvrait son visage désormais rouge
pivoine.
Son gland était aspiré loin dans le trou du cul
serré, et l'anus serrait sa tige au maximum. Stan roulait des yeux alors que Paul commençait à la baiser sauvagement.
"Oh merde ! Oh noon !" l'aîné n'en pouvait plus,
dépassé par les sensations ressenties par sa queue. Ses genoux commençaient à trembler, et il finit par perdre l'équilibre et s'écrouler sur le lit. .
"Soldat, je vais te donner une leçon que tu
n'oublieras jamais ! lui cria Paul. "Je vais faire de toi mon esclave !"
Pour la première fois de sa vie, le beau militaire
se sentit complètement sans défense. Il avait l'habitude de ne jamais perdre le contrôle de son sexe, provoquant chez les filles qu'il baisait des orgasmes en chaîne. Et maintenant il ne
pouvait se défendre contre le trou du cul de son pd de frère qui lui massait sans relâche la bite. Sa force sexuelle se retournait contre lui, et il réalisait que son frérot était en train de
le niquer.
Paul continuait de masser avec ses doigts les larges
épaules tatouées de Stan. Ses muscles se tendirent à nouveau dans une tentative pour se libérer, mais sa queue restait submergée par le postérieur torride de Paul.
Les yeux du militaire montraient une panique de plus en plus évidente. Son corps s'affaissa sur le matelas. Paul savait qu'il avait son frère sous son contrôle. Les gémissements extatiques de
Stan et son souffle court confirmaient ses suspicions. Le moment de l'éjaculation se rapprochait.
"Noooooo! Uuuuuurrrgghhh!", la queue de l'hétéro
était en feu. Il lui était impossible de retenir son jus plus longtemps. Paul savait parfaitement jouer de son système sexuel pour le mener à l'orgasme contre sa volonté. Le militaire
gueula sa jouissance comme il ne l'avait jamais fait. "UUUUOOOOUUUAAAARRRGH !" Son corps bâti par les heures de musculation s'agita violemment alors que l'anus de son frère réussissait à
lui traire la queue.
Le militaire crachait une quantité incroyable de
sperme chaud. ""Aaaarrrgggghhh. Ooooouuuuuuw. Ouuiiiiiiii ! Je ne peux pas m'arrêter de jouir !!!"
L'étalon s'agitait comme une machine détraquée. Il
ne pouvait dire un mot, seulement grogner comme un animal en rut.
"Aaaaarrrrgggghhh !! ok arrête putain, j'en peux
plus là !! Uuuuhhh!" Stan se sentait épuisé et vidé. Il était couvert de sueur, ses pectoraux massifs se soulevaient comme des
soufflets.
Mais Paul n'en avait pas fini avec lui. Il sourit en
voyant son frère l'implorer, allongé sur son dos.
"Qu'est ce que tu mijotes encore ? Laisse moi putain
! Je ne peux plus jouir là" criait maintenant Stan avec effroi.
"Encore, encore !!" répondit Paul alors qu'il
recommença à chevaucher Stan. L'aîné protesta tant qu'il put, mais son érection n'avait pas diminué malgré la colossale éjaculation .
Après 10 minutes à sentir sa queue emprisonnée et
travaillée par les sphincters de son frère , le caporal perdit à nouveau le contrôle et expulsa les quelques gouttes qui restaient au fond de ses
couilles.
Mais avant que la bite de sa victime ne ramollisse
définitivement, Paul change de position et fit entrer trois doigts dans l'anus de son frère, massant sans pitié sa prostate. A nouveau, le sexe du militaire se gonfla de sang. L'autre main de
Paul serra les couilles de son aîné, et avant qu'il ne put réagir, il prit la tige de Stan dans sa bouche et la suça avidement.
" Nooonnn! Aaaargh!" gueulait Stan alors qu'il
tentait toujours de s'échapper. Sa tête commença à s'agiter de gauche à droite sous l'effet de la souffrance, mais il sentait son bassin s'agiter de haut en bas pour "baiser" littéralement la
bouche de son frère. Le caporal essaya de se retenir sans aucun espoir. Une nouvelle fois, il était conduit de force hors de tout contrôle, vers un orgasme douloureux, le troisième en
seulement quelques minutes. "Urrrrghh...ggghhhhh...ghhh ! Ooooooooouuuuuuurrrrrrrrrrgghhhhhhhhhhhhhhhhh!". Le dur combattant pleurait maintenant pour de bon. Les larmes inondaient sa
face cramoisie par le marathon sexuel dans lequel il avait trouvé son maître.
Lorsque Paul quitta la pièce, les yeux du macho vaincus étaient devenus vitreux. Le caporal Stan Chevalier
était physiquement vidé et moralement brisé.