Histoires érotiques entre mecs
"Waouh...Quelle baise, tu es le meilleur !". Aurélie haletait après un nouvel orgasme incroyablement puissant "Sil te plaît bébé...faisons une pause là", implorait-elle en s'adressant au caporal Stan Chevalier, qui travaillait à la faire jouir depuis des heures. Son corps musclé sec entrainait sans relâche sa queue de 21 cms dans la chatte de sa copine, tel un piston bien huilé.
Des tatouages tribaux couvraient l'arrière de ses larges épaules. Son torse massif brillait de sueur. Le militaire souriait sereinement. Une nouvelle fois, son physique de rêve, 1m90 pour 85 kilos de muscle, lui avait permis de faire grimper aux rideaux sa copine. Aurélie était très exigeante avec le beau gosse de 23 ans, et comme ils ne se voyaient que le week-end, Stan se devait de lui laisser une impression assez forte pour toute la semaine... "Pas de chance ma belle, je n'ai toujours pas joui", répondit Stan, qui augmenta encore le rythme et serra ses dents en sentant la fin approcher... "Encore ! "gémit Aurélie, incrédule. Son beau soldat avait déjà éjaculé 3 fois, et jusqu'à ses seins étaient recouverts de son jus. "Ahhh....putain ça vient !! uuhhh..uuhh.. nnghh...mmmpf". Stan s'écroula une nouvelle fois sur Aurélie et l'embrassa tendrement. Les deux amoureux ne savaient pas que le petit frère de Stan, Paul, n'avait pas manqué une minute de leurs ébats. A l'insu de son aîné, Paul avait installé une webcam dans la chambre du caporal, et ne manquait aucune de leurs sessions de baise du week-end. "Tu as vraiment tout donné là..." souffla Aurélie après la folle prouesse de son étalon. "A un moment j'ai eu peur que tu appelles ton petit frère pour t'aider" dit elle pour le provoquer.
"Pfff tu rigoles ? Petit Paul passe son temps à rêver de mon bâton, les meufs c'est pas son truc" rétorqua Stan. "Ce petit con n'aurait jamais assez d'endurance pour jouer dans ma division de toutes les façons. D'ailleurs...prête pour un autre round ?" dit-il avant d'enfouir sa tête entre les cuisses d'Aurélie. Paul en restait sans voix, abasourdi par l'arrogance de son frère. C'est vrai, il n'était pas aussi bien foutu que Stan, mais il était bien plus malin que cet abruti de soldat hypersexué. L'étalon méritait de recevoir une leçon, et le petit frère de 18 ans à peine promit de se venger. Le petit frère passa à l'attaque un chaud vendredi après-midi du mois d'août. Stan avait dû rester à la base deux semaines de suite, et devait être chaud comme la braise. Revenant à la maison, comme d'habitude, le caporal allait sans doute vouloir prendre une douche et passer prendre Aurélie ensuite pour un après-midi de sexe torride. Enfin, c'est ce qu'il avait l'habitude de faire, mais son frère avait d'autres plans pour lui aujourd'hui... Quand Stan rangea sa grosse cylindrée dans le garage, Paul se tenait adossé au mur. Il souria au jeune soldat qui retira son casque et s'avança vers lui. "Hello p'tit frère, tout va bien ?" Paul se régalait à la vue de ce soldat si viril, encore vêtu de son treillis, de ses bottes de combat et d'une veste de cuir noir. "Tout va bien ! Le truc c'est que Papa m'a dit de te dire de tondre la pelouse. Tu devrais t'y mettre de suite, c'est un peu la forêt vierge et tu sais qu'il déteste que les voisins se foutent de lui à ce sujet..." "Oh putain !". Tondre la pelouse saoulait bien Stan, mais il ne voulait pas avoir de problème avec son vieux dès le début du week-end, et puis il était encore trop tôt pour voir Aurélie qui devait encore bosser. "Ok je m'en occupe". Il ôta sa veste, révélant son torse musclé. Paul fut frappé par l'odeur mélangée de cuir et de sueur, si masculine et excitante pour lui. Le soleil frappait fort sur le dos tatoué de Stan alors qu'il lança la tondeuse et commença le boulot.
Rapidement, son dos et son torse se couvrirent de sueur. C'était vraiment une journée torride. Stan se dit qu'il aurait dû prendre une bière ou
deux avant d'attaquer, quand Paul apparut avec une chope pleine de bière bien glacée justement. "Tu viens au bon moment !" dit Stan avant d'avaler à longue gorgée le demi-litre. Paul regardait la
scène avec fascination, deux filets de bière coulant des lèvres du soldat jusque sur ses pectoraux bombés, où ils se mêlaient avec sa
transpiration.
"Putain ça fait du bien! " gueula de plaisir le soldat. Il n'avait pas réalisé
que Paul avait mélangé à la bière une bonne dose de tranquillisants.
Stan finit de tondre la pelouse une demi heure plus tard et rejoignit son frère dans la cuisine pour discuter. La chaleur du soleil
devait lui avoir tapé sur la tête, il se sentait un peu embrumé et avait du mal à suivre la conversation.
"Je crois que je vais filer à la douche", grommela finalement le militaire, qui se leva en titubant vers les escaliers menant à sa chambre au
premier étage.
Paul attrapa le rouleau de scotch de déménageur qu'il avait spécialement acheté pour l'occasion, et suivit son frère à la démarche
mal assurée. Il entendit Stan disparaître dans sa chambre et y rester, toute idée de douche apparemment évanouie...
Paul attendit quelques minutes, et, n'entendant plus aucun bruit, ouvrit la porte de la chambre de son aîné pour jetter un coup d'oeil. Il sourit en voyant le caporal allongé sur son lit. Son corps splendide reposait sur le côté, manifestement terrassé par les médicaments avant même d'avoir pu enlever ses bottes.
Paul ne perdit pas une minute. Il utilisa le scotch pour attacher solidement les poignets de son ronfleur de frère dans le dos. Il n'était pas facile de faire rouler ce corps lourd sur le dos. Un court gémissement s'échappa des lèvres sensuelles du jeune soldat, mais il n'y avait encore aucun signe de réveil. Les tranquilisants le tenaient solidement sous leur emprise.
Paul enleva les chaussures et chaussettes de son frère. Il ne put s'empêcher d'embrasser le nombril lové entre les abodminaux musclés du soldat. Alors que sa langue s'égarait dans ce trou, il savourait le goût salé de la sueur de Stan.
Cette sensation devait avoir toutefois déclenché quelque chose dans le système nerveux du militaire, qui commença à s'agiter quelque peu.
Paul agit rapidement. Il dessera la ceinture de son frère, ouvrit la fermeture éclair du treillis, et le fit glisser jusqu'aux chevilles de son aîné.
Il remarqua que Stan portait un boxer hyper moulant mettant clairement en évidence une paire de couilles impressionnante et une queue encore flasque mais qui trouverait bientôt à qui parler...
Paul retira complètement le pantalon de camouflage. Un nouveau gémissement l'alerta et lui montra que le corps puissant de son frère luttait avec succès contre les effets du médicament. Il lui fallait sécuriser sa proie au plus vite. Il prit une batte de baseball, la plaça entre les chevilles de Stan et la fixa dessus avec du scotch aux deux extrémités, laissant les jambes de son frère légèrement écartées. Puis il finit de déshabiller et enfourcha sa victime, qui montrait de plus en plus de signes de réveil.
Quand Stan sortit de sa léthargie, son premier choc fut de voir son frère nu, à genoux devant lui, et lui offrant une vue parfaite sur sa bite d'adolescent. Quelques secondes plus tard il réalisa avec horreur qu'il était complètement paralysé. "Putain de pervers...Aaarrrgghh".mmmpppf"ungggg "mmpf". Son cri de fureur fut réduit à néant lorsque Paul se jeta en avant, collant son sexe dans sa bouche grande ouverte.
Paul susurra dans l'oreille de son frère : "Je ne te ferai aucun mal, laisse moi juste te faire du bien et je te promets que je vais te faire oublier toutes ces putes qui n'arrivent jamais à te satisfaire...Comment trouves-tu ma bite ? Ce n'est pas bon comme sensation ?"
Pendant qu'il parlait Paul laissait trainer ses doigts sur les pectoraux saillants du caporal et stimulait délicatement ses tétons. Stan était furieux, mais dans un réflexe sa langue commença à explorer la queue qui envahissait sa bouche. Cependant sa colère l'empêchait d'être excité sexuellement.
Les abdominaux du militaire se contractèrent alors qu'il se tortillait pour se débarrasser de son frère et sortir de ce lit. Seules ses chevilles bien entravées l'empêchèrent de réussir malgré sa force brute. Il ne réussit qu'à se mettre à genoux, tremblant de rage.
"Frérot, ne rend pas ça plus difficile pour toi. Si tu continues à lutter, je te viderai les couilles contre ton gré jusqu'à ce que tu admettes que je suis le meilleur coup que tu ais jamais eu". En prononçant ces mots, Paul positionna ses bras autour du cou de son frère et tenta de l'embrasser. Stan gardait ses lèvres serrées et n'autorisa pas la langue à le pénétrer. Quand le baiser prit fin, il grogna : "Tu es un pervers complet ! Je ne te baiserai jamais, et tu ne verras jamais une goutte de mon sperme. Arrête ça avant que je ne te fasse mal et oublie ce truc de malade ! Même si nous étions seuls sur une île déserte je ne te toucherai pas, petite pédale. "
"Peut-être es tu timide parce que je ne suis pas une fille", répliqua Paul doucement. "Laisse moi t'exciter...". Et disant cela, il baissa le boxer de son frère, exposant son sexe et ses couilles de taureau. Sa lourde queue pendait entre ses cuisses musclées, et ne montrait aucun signe d'excitation pour l'instant. 'Qu'est ce que..." Stan tenta de protester. Mais Paul lui sauta dessus en rassemblant toutes ses forces, le déséquilibrant en arrière. Sa langue envahissait déjà la bouche du militaire avant que ses épaules ne touchent le matelas. "Mmmmmmmnnnnnnnn..nooonn!" Stan luttait contre cette langue dans sa bouche, mais ne parvint pas à stopper l'assaut. La langue de Paul s'attaqua soudain à son visage, léchant la transpiration qui y coulait et descendant vers sa gorge.
"Stan, chéri ? tu es rentré ?" la voix d'Aurélie résonnait distinctement derrière la porte. Stan et Paul se figèrent tous deux sous l'effet de la surprise. Stan était à deux doigts de répondre à sa copine quand Paul lui couvrit la bouche de la main et lui souffla dans l'oreille "Tu n'as pas vraiment envie que ta chérie nous trouve dans cette situation, si ? Un fier étalon immobilisé sur le dos et violé par son petit frère ? " Stan hésita. Le pd n'avait pas tort : qui croirait qu'un militaire entraîné aux arts martiaux, bâti comme un dieu grec, pouvait se faire baiser contre son gré par son polar de frère ? Aurélie ne croirait jamais ça, et elle serait juste folle de rage de le voir au lit avec un mec.
Alors qu'il réfléchissait fiévreusement à la situation, Paul commença à introduire sa langue dans son oreille.
"Tu es un bon gars" lui soufflait-il alors qu'il s'attaquait maintenant à son téton gauche, le suçotant intensément pendant que sa main gauche forçait doucement le passage dans la bouche du militaire et que son autre main débutait le massage du téton droit de son aîné désemparé.
"Stan ! ", Aurélie frappait à la porte maintenant. Le caporal ne savait plus que faire. Presque par réflexe, il commença à sucer l'index de Paul. Habitué à être le mâle dominant, l'athlète viril se sentait désormais dépassé dans une situation sexuelle qu'il n'avait jamais rencontré. Et il devait bien avouer que ça l'excitait, ça l'excitait même un maximum. Le sang affluait dans ses pectoraux, et son téton gauche était dur comme de la pierre sous l'effet des suçons. Aurélie frappa à nouveau à la porte, ne voulant pas abandonner si facilement apparemment, ce qui obligeait Stan à continuer à supporter en silence la douce torture que Paul infligeait à ses tétons.
Il revint alors à l'esprit du caporal un épisode du passé durant lequel il avait dû prouver sa virilité dans un sexfight. Il y avait dans son unité une femme qui effrayait tous les hommes après qu'elle ait implacablement vidé les couilles de deux étalons connus pour leur capacité à baiser des filles durant des heures. Après leur rencontre avec l'adjudant Martine Dubois, qui était par ailleurs une bodybuildeuse confirmée, leur confiance dans leur endurance avait sérieusement diminué.
C'était pour les hommes de l'unité une question d'honneur de rétablir leur prédominance, et Stan et Martine se retrouvèrent bientôt dans une réserve de la base pour régler le sujet une bonne fois pour toute. Après une lutte acharnée qui laissa la réserve dans le chaos le plus complet et les corps des deux adversaires couverts de sueur, Stan réussit à bloquer Martine dans un 69, et commença à lui faire un cunnilingus. Il était sûr de pouvoir ainsi la faire jouir rapidement, l'emportant dans un tourbillon d'orgasmes, tout en remplissant dans le même temps sa bouche avec sa queue massive.
Le militaire savait qu'il pouvait résistait à une fellation pendant des heures, il avait assez de contrôle de lui même pour cracher sa semence seulement lorsqu'il l'avait décidé.
Sa première surprise fut de voir que Martine réussit sans difficulté à rentrer l'intégralité de sa queue épaisse dans sa bouche. Et la pipe qu'elle lui fit était si bonne que Stan en eut presque les yeux qui lui sortaient des orbites. Quand il accrut en toute hâte les mouvements de sa langue dans la chatte de son adversaire, il sentit les cuisses musclées de Martine commencer à serrer sa tête comme dans un étau.
Stan avait perdu son air sûr de lui, mais n'était pas encore vraiment paniqué. Il utilisa ses bras puissants pour briser l'étau qui le tenait prisonnier. A ce moment, Martine introduisit son index dans l'anus du soldat laissé sans protection. Avec une grande habilité elle commença à masser un point qui n'avait jamais été encore effleuré. Chaque passage de son doigt déclenchait en lui des vagues de plaisir insoutenable qui parcouraient tout son corps. Maintenant, la panique l'avait envahi. Se débattant désespérément, il réussit à libérer sa tête, mais sentit aussitôt les jambes de la bodybuildeuse se resserrant autour de son torse, le bloquant à nouveau.
Il était désormais à la merci de son adversaire, sans aucune chance de pouvoir atteindre à nouveau la chatte de la bodybuildeuse pour renverser la vapeur. Très vite, les massages experts que Martine lui appliquait dans le rectum comme la fellation qu'il subissait devinrent insupportables. "Oh, oh, oh uuuuh". nnngg", les grognements commençaient à monter de la bouche de Stan. La résistance du caporal céda soudain sous les coups d'une avalanche de plaisir, et l'instinct reprit le dessus. Les hanches de Stan commencèrent à s'agiter, sa vue se brouilla et sa bite lâcha une énorme dose de sperme chaud dans la gorge de Martine.
En dépit de ce mauvais début, ce fut son endurance qui le sauva à la fin. Il récupéra très rapidement après avoir craché son jus et pris Martine en levrette avant qu'elle ne se rende compte de ce qui lui arrivait, lui arrachant à force de coups de reins l'orgasme de sa vie.
Penser à cet épisode accrut les contractions dans le bas ventre de Stan, et son sexe commença à s'agiter de plus en plus. Ses yeux bleus pleins de confusion croisèrent ceux de son frère.
Paul comprit immédiatement ce qui se passait dans la tête de son aîné. Il commença à sucer son téton droit tout en caressant ses larges épaules. "Ah"." un gémissement involontaire s'échappa cette fois des lèvres du militaire. Ils entendirent finalement les pas de Aurélie s'éloigner dans le couloir.
"Ah tu es un mec sensible des pecs ! C'est cool ça ! " Paul souriait, alors que ses doigts s'activaient sur les deux tétons désormais durs comme de la pierre. Il savait qu'il était entré dans le système sexuel de son frère, et que ce n'était qu'une question de temps avant qu'il soit complètement à lui. "Tu sais, il y a beaucoup de mecs sensibles des tétons" lui expliqua t-il avec un air scientifique, alors qu'il lui massait le torse. "Si on fait ça bien, on peut même faire jouir un mec sans lui toucher le sexe." "Pas question ! " hurla Stan. Le militaire essayait de reprendre ses esprits et de mettre à l'abri ses tétons. Il réussit à se positionner sur le ventre. Bite et pectoraux à l'abri pensa t-il. Un moment plus tard, il réalisa que les ennuis venaient juste de commencer.
L'athlète se figea quand il sentit que l'on écartait ses fesses. Les sensations du doigtage que lui avait administré Martine remontèrent à la surface et il réalisa que cela pouvait être la fin pour lui. Il lui fallait trouver un moyen de distraire son frère. "Pourquoi tu ne te trouves pas un mec de ton âge ?" Alors qu'il essayait d'établir ula conversation, Paul déposa sur son anus un rapide coup de langue.
"PUTAIN ARRETE CA MAINTENANT !". Stan essayait désespérément de se remettre sur le dos, mais son frère le maintenait sur le ventre, plantant ses ongles dans ses fesses et le poussant de toutes ses forces. "Tu as peur que je puisse te baiser c'est ça ? Ce serait sympa en effet. J'ai fait ça à plein de mecs avant, mais j'aimerai que toi tu jouisses dans mon cul et pas dans tes draps. Alors détend toi et profite "
Paul enfonça alors son visage entre les fesses musclées de son frère et lui lécha le trou du cul malgré ses protestations. Contre sa volonté, les hanches de Stan commencèrent à s'agiter dans un va et vient suggestif... "Oh merde, merde ! Tu ne peux pas me faire ça...Oh putain...non...Uungh... huuuh... aarggh!......"
Doucement, Paul caressa les couilles de son frère, et laissa ses ongles s'égarer sous le gland très sensible de son aîné. "Putain, barre toi ! arrête ça...." hurlait Stan de rage. Des ondes chaudes et froides commençaient à parcourir sa colonne vertébrale. Le sang gonfla sa queue, qui répondait volontiers aux sollicitations expertes de Paul. Le caporal enfonça son visage dans l'oreiller et essaya d'ignorer les sensations que sa bite envoyaient à son cerveau. Paul continuait à stimuler l'étalon avec de longs mouvements lents de ses doigts sur son membre. "Nnnnnggggg...uuuuuuuuuhhhhhhh...nnnnooooonnn", Stan résistait de plus en plus difficilement. Ses dents mordaient le coussin. Paul observait ce mec merveilleusement musclé se débattre sous lui. La queue du militaire était maintenant en pleine érection, et des gouttes de precum commençaient à couler de son gland violacé. Stan savait qu'il devait réagir avant que son pd de frère ne le trait comme une vache. "Huh huh Ok...tu as gagné" lâcha Stan. Paul souriait : "que veux tu dire frérot ?" "Je te baise si c'est ce que tu veux" répondit Stan bien embarrassé.
Bien que Paul soit un peu méfiant, il arrêta de masser la queue de son frère et se leva. Stan était soulagé. Ce gay était vraiment stupide, ça allait être plus facile que prévu. Il était tombé dans le piège. Paul coupa le scotch qui entravait Stan et retira la batte de baseball.
Stan se mit à genoux et présenta aussi ses poignets à son frère pour qu'il le libère, mais Paul ne voyait pas les choses comme ça. Il fit face à son frère et vit avec satisfaction que la queue du militaire se dressait toujours fièrement devant ses abdos sculptés.
Stan avait du mal à conserver son calme. "Qu'est ce que tu attends ? J'ai dit que j'abandonnais, libère moi maintenant !" grognait le caporal avec impatience. Ses muscles se contractaient pendant qu'il se débattait pour déchirer le scotch qui emprisonnait ses poignets. Au même moment, il tenta de se relever, mais c'était justement ce que Paul attendait. Ses mains enserrèrent le cou musclé. Le militaire gueula de colère et trébucha. Paul cibla le sexe toujours en érection de son grand frère. D'un mouvement parfait, il positionna son cul face à la bite de Stan, et jeta tout son poids en arrière, réussissant à faire entrer facilement le long bâton dans son cul.
Stan eut le souffle coupé quand il sentit cette incroyable sensation : sa queue était littéralement emprisonnée dans l'étau des sphincters de son petit frère. L'étalon essaya de résister furieusement. "Arrête ça putain de pervers !!'
Les muscles du militaire s'agitaient sous sa peau. Son corps entier suintait la transpiration et une odeur animale remplit la pièce. Stan ressemblait à un prédateur sexuel sans équivalent, hormis le fait que cette fois ci, il était devenu lui même la proie de son frère gay. Ses biceps puissants se gonflaient ; et la sueur couvrait son visage désormais rouge pivoine.
Son gland était aspiré loin dans le trou du cul serré, et l'anus serrait sa tige au maximum. Stan roulait des yeux alors que Paul commençait à la baiser sauvagement. "Oh merde ! Oh noon !" l'aîné n'en pouvait plus, dépassé par les sensations ressenties par sa queue. Ses genoux commençaient à trembler, et il finit par perdre l'équilibre et s'écrouler sur le lit. .
"Soldat, je vais te donner une leçon que tu n'oublieras jamais ! lui cria Paul. "Je vais faire de toi mon esclave !" Pour la première fois de sa vie, le beau militaire se sentit complètement sans défense. Il avait l'habitude de ne jamais perdre le contrôle de son sexe, provoquant chez les filles qu'il baisait des orgasmes en chaîne. Et maintenant il ne pouvait se défendre contre le trou du cul de son pd de frère qui lui massait sans relâche la bite. Sa force sexuelle se retournait contre lui, et il réalisait que son frérot était en train de le niquer. Paul continuait de masser avec ses doigts les larges épaules tatouées de Stan. Ses muscles se tendirent à nouveau dans une tentative pour se libérer, mais sa queue restait submergée par le postérieur torride de Paul.
Les yeux du militaire montraient une panique de plus en plus évidente. Son corps s'affaissa sur le matelas. Paul savait qu'il avait son frère sous son contrôle. Les gémissements extatiques de Stan et son souffle court confirmaient ses suspicions. Le moment de l'éjaculation se rapprochait.
"Noooooo! Uuuuuurrrgghhh!", la queue de l'hétéro était en feu. Il lui était impossible de retenir son jus plus longtemps. Paul savait parfaitement jouer de son système sexuel pour le mener à l'orgasme contre sa volonté. Le militaire gueula sa jouissance comme il ne l'avait jamais fait. "UUUUOOOOUUUAAAARRRGH !" Son corps bâti par les heures de musculation s'agita violemment alors que l'anus de son frère réussissait à lui traire la queue.
Le militaire crachait une quantité incroyable de sperme chaud. ""Aaaarrrgggghhh. Ooooouuuuuuw. Ouuiiiiiiii ! Je ne peux pas m'arrêter de jouir !!!" L'étalon s'agitait comme une machine détraquée. Il ne pouvait dire un mot, seulement grogner comme un animal en rut. "Aaaaarrrrgggghhh !! ok arrête putain, j'en peux plus là !! Uuuuhhh!" Stan se sentait épuisé et vidé. Il était couvert de sueur, ses pectoraux massifs se soulevaient comme des soufflets.
Mais Paul n'en avait pas fini avec lui. Il sourit en voyant son frère l'implorer, allongé sur son dos. "Qu'est ce que tu mijotes encore ? Laisse moi putain ! Je ne peux plus jouir là" criait maintenant Stan avec effroi.
"Encore, encore !!" répondit Paul alors qu'il recommença à chevaucher Stan. L'aîné protesta tant qu'il put, mais son érection n'avait pas diminué malgré la colossale éjaculation .
Après 10 minutes à sentir sa queue emprisonnée et travaillée par les sphincters de son frère , le caporal perdit à nouveau le contrôle et expulsa les quelques gouttes qui restaient au fond de ses couilles.
Mais avant que la bite de sa victime ne ramollisse définitivement, Paul change de position et fit entrer trois doigts dans l'anus de son frère, massant sans pitié sa prostate. A nouveau, le sexe du militaire se gonfla de sang. L'autre main de Paul serra les couilles de son aîné, et avant qu'il ne put réagir, il prit la tige de Stan dans sa bouche et la suça avidement.
" Nooonnn! Aaaargh!" gueulait Stan alors qu'il tentait toujours de s'échapper. Sa tête commença à s'agiter de gauche à droite sous l'effet de la souffrance, mais il sentait son bassin s'agiter de haut en bas pour "baiser" littéralement la bouche de son frère. Le caporal essaya de se retenir sans aucun espoir. Une nouvelle fois, il était conduit de force hors de tout contrôle, vers un orgasme douloureux, le troisième en seulement quelques minutes. "Urrrrghh...ggghhhhh...ghhh ! Ooooooooouuuuuuurrrrrrrrrrgghhhhhhhhhhhhhhhhh!". Le dur combattant pleurait maintenant pour de bon. Les larmes inondaient sa face cramoisie par le marathon sexuel dans lequel il avait trouvé son maître.
Lorsque Paul quitta la pièce, les yeux du macho vaincus étaient devenus vitreux. Le caporal Stan Chevalier était physiquement vidé et moralement brisé.
Merci pour toutes ces suggestions très intéressantes, la suite qui vient d'être publiée en reprend certaines, et les épisodes suivants pourraient en intégrer d'autres ! En espérant que cette nouvelle histoire t'inspire autant que la première...
Cette partie et la seconde traduisent une partie et demie d'une histoire qui en comporte 35 (d'abord "Teaching Big Bro a Lesson"; puis "Jack in the Box", ensuite "The Mission" et enfin "Unfinished Business") donc si l'histoire vous plaît je vous conseille d'aller voir. Généralement l'auteur écrit sur des thèmes similaires à ceux de ce blog.
Comment Stan va se comporter vis à vis de sn petit frère? Complèetement brisé et soumis à ses caprices sexuels? Ou au contraire plus que jamais sur la réserve et refusant tout contact? va t il larguer sa copine étant trop perturbé par cette experience?
Et Paul comment compte il profiter de cet ascendant sur son frère va t il en profiter pour le façonné à l'image du fantasme abolu du beau et viril militaire? Va t il le reduire au rang d'escalve et jouet sexuel, l'emmenant avec lui dans les bars gays pour l'exhiber et faire baver ses copains et copines? En l'obligeant à se looker de façon ultra fashion et en l'humiliant plus génénralement?
Ou va t il regretter voyant son frère abattu ? Tenter de l'amadouer pour qu'il soit tout à lui et vienne lui manger dans la main?
Stan pourrait aussi decider de se venger et baiser son frère comme lui même en rêve de façon domninante et virile?
Histoire toujours aussi existante en tout cas, je bande une fois de plus en la lisant, bonne continuation en espérant que mes idées pourront données des bases à des suites eventuelles....