Histoires érotiques entre mecs
Qui bandera le plus longtemps dans ce 69 vicieux ? Le tirage au sort avait désigné Omar le lutteur black pour affronter Marc le bodybuilder dans la première demi-finale du défi de force sexuelle que s'étaient lancés les sportifs toulousains.
Si Omar dépassait Marc en taille de 10 bons centimètres, le bodybuilder avait un avantage certain en termes de musculature sur le renoi. Mais le lutteur était bien content de pouvoir défier le céfran. En termes de palmarès sexuel, le blond était un des rares à pouvoir lui faire concurrence. Les filles de la fac étaient folles du corps de ce passionné de musculation. Le black voulait montrer de quel côté était la vraie virilité en terrassant le dard de son adversaire. Il méprisait ces mecs qui se bourraient de protéines pour prendre de la masse.
Pour cette demi finale, les modalités du combat avaient changé. Les deux bogosses devaient se mesurer dans un 69, et le gagnant serait celui qui parviendrait à garder son érection le plus longtemps. Seule la position, tête contre bite, était imposée, pour le reste toutes les techniques pouvaient être utilisées pour faire jouir l'autre. Le 69 mettait le renoi assez mal à l'aise, il n'avait jamais sucé de mec de sa vie...Mais il avait confiance dans sa virilité, et savait que sa bite pouvait rester raide pendant des heures, même après 4 ou 5 éjaculations. Il était certain que le bodybuilder ne tiendrait pas aussi longtemps que lui.
Omar et Marc prirent donc position tête-bêche, allongés sur le côté. Omar enfourna facilement le sexe de Marc dans sa bouche et commença à le pomper. Marc choisit une autre technique. Il décalotta le sexe du renoi, et commença à l'exciter à l'aide de petits coups de langue délicatement posés sur son gros gland rose. La bite du kebla répondit vite présent, et se dressa bientôt complètement, raide et vigoureuse.
A l'inverse, Omar avait les plus grandes difficultés à exciter l'athlète blond, dont la queue restait à demi molle après 3 minutes de pompage frénétique. Le lutteur commençait déjà à s'inquiéter : et si son manque d'expérience avec les mecs lui faisait perdre ce défi ? Omar n'avait peut-être pas une très bonne technique, mais il ne manquait pas de courage. Malgré le dégoût qu'il ressentait, il avala alors la queue du bodybuilder façon "gorge profonde", imitant ce que lui faisaient les filles du quartier quand elles voulaient vraiment lui donner du plaisir...Le baton du céfran caressait presque les amygdale d'Omar ! Cette manoeuvre produisit bien son effet, et la tige de Marc durcit au maximum dans la bouche de son adversaire. Pour un amateur, le renoi suçait drôlement bien ! Les couilles de Marc commençaient d'ailleurs à envoyer des signaux inquiétants. Le bodybuilder appréciait vraiment le pompage d'Omar.
Et ce qui devait arriver arriva quelques minutes plus tard. Omar sentit la verge de son adversaire trembler, et une giclée de foutre partit presque instantanément, débordant de la bouche du lutteur pris au dépourvu. Dégoûté par cette semence masculine, Omar se dépêcha de cracher tout ce qu'il pouvait.
Omar savourait ce début de victoire : "Ton petit sexe de français a vite craché son jus hein ! tu découvres la puissance sexuelle des africains mon pote, et c'est pas fini, je vais te traire tes burnes de petit blanc !!"
Marc avait donc perdu la première manche. Pourtant, malgré l'arrogance d'Omar, il ne semblait pas plus inquiet que ça, et sa bite restait bien raide. En fait, fréquentant assidûment la salle de musculation, le bodybuilder avait déjà eu l'occasion d'affronter des gays dans des défis de tous genres, y compris sexuels. Il avait donc confiance dans sa capacité à battre le renoi grâce à des techniques que le mec de banlieue ne saurait jamais utiliser.
D'ailleurs, les petits coups de langue répétés sur le gland d'Omar produisaient lentement mais sûrement leur effet. Le membre du lutteur luisait désormais de bave, et surtout il paraissait plus gonflé que jamais. Après ces préliminaires, Marc sentait que sa proie était mûre, et il pouvait passer à la deuxième partie de son plan pour lui faire cracher son foutre.
Le bodybuilder commença par saisir avec ses bras musclés les jambes du renoi et les écarter de force, pour bien mettre en évidence son trou du cul. Le lutteur, sentant le danger, essaya de résister, mais la force des bras massifs de Marc surpassait celle de ses jambes ! Lâchant le gland du renoi, le bodybuilder commença alors à lécher baveusement la raie du cul de son adversaire, en insistant sur l'anus. Omar n'avait jamais connu une telle sensation. Aucune fille ne s'était occupée de sa rosette avec autant de fougue. Marc lui bouffait le cul comme un pro.
Le black sentait monter la vague de plaisir en lui, et ses yeux écarquillés par l'étonnement lui donnaient un air assez ridicule. Puis, à sa grande consternation, son sexe lâcha 4 grands jets de sperme que le céfran recueillit soigneusement dans ses mains. En effet, le bodybuilder se servit du foutre crémeux du noir comme lubrifiant pour lui branler frénétiquement le poireau, sans lui laisser le temps de se reposer. Le black perdait pied, et ne pensait même plus à s'occuper de la teube plus rigide que jamais du blond.
Après quelques minutes de branle effrénée, les burnes d'Omar lâchèrent encore leur jus, au grand désespoir du lutteur qui se demandait maintenant si la victoire était si certaine. Mais le kebla restait un vrai étalon, et son sexe ébène dégoulinant de sperme blanc gardait malgré tout sa rigidité parfaite. Après deux giclées, le lutteur pensait qu'il serait maintenant difficile à Marc de le mener à nouveau au point de non retour. Reprenant un peu courage, il recommença à sucer goulûment le membre du céfran.
Le bodybuilder sentait lui que la fin approchait pour le renoi. Certes, Omar brandissait encore fièrement son long pénis. Mais la deuxième éjaculation du black avait déjà été bien moins abondante que la première. Marc pensait que s'il réussissait à vider une troisième fois les couilles de son adversaire, sa bite pouvait perdre son érection. Le blond musclé repartit donc à l'attaque de l'anus du renoi. Sa langue pénétrait désormais profondément l'orifice. Les sensations remontaient dans le bas ventre d'Omar...Pour le noir, le temps pressait. Il savait que le céfran avait pris un avantage en attaquant son trou du cul, et malgré son dégoût, il se résigna à lécher lui aussi l'anneau du lutteur.
Pour Marc, il était temps d'en finir. La langue d'Omar risquait de l'exciter au-delà de ses limites, et il ne pouvait prendre ce risque une deuxième fois. Il décida donc d'empêcher le noir d'avoir accès à son anus en resserrant au maximum ses jambes. Le renoi lutta de toute la force de ses bras, mais les cuisses musclées de Marc ne lui laissèrent aucune chance. Le sportif avait fermé l'accès à ses arrières ! Pendant qu'Omar reprenait en bouche, dépité, le sexe de Marc, ce dernier décida d'utiliser son attaque favorite pour faire jouir ses adversaires. Il enfonça deux doigts dans le trou du cul du renoi, à la recherche de son point G. Après 2 minutes à doigter le rectum d'Omar, Marc comprit qu'il avait touché le bouton magique quand le beau mâle commença à gémir, complètement en rut.
Le lutteur se sentait humilié comme jamais. Il se retrouvait là, devant un groupe entier de sportifs de sa fac, à pousser des petits cris de plaisir parce qu'un mec lui mettait ses doigts dans le cul ! L'humiliation en rajoutait encore à l'excitation. Pour porter le coup de grâce, Marc reprit le membre du renoi dans sa bouche en même temps qu'il continuait à lui masser délicieusement la prostate. Battu, Omar céda au plaisir pour la troisième fois. Son corps musclé fut agité de soubresauts incontrôlés, mais sa teube ne lâcha pas plus de quelques gouttes cette fois. Marc avait réussi à sécher son adversaire.
La bite du renoi accusa enfin le coup et commença à débander. Le lutteur essayait de penser à tout ce qui pouvait l'exciter pour maintenir son érection et ne pas perdre le défi. Mais le sang ne cessait de refluer de son membre. Et c'est avec un regard triomphant que Marc sortit de sa bouche le sexe devenu minuscule de son adversaire.
Omar le vainqueur de Brahim le rebeu battu par un céfran, quelle honte pour les racailles... Marc avait dignement gagné sa place en finale.
Ven 8 nov 2013
1 commentaire
je viens de finir de lire cette histoire qui ma fait bcq d effet hihi tu a vraimment un don je te jure moi j adore ton style continu comme sa hihi
anthony - le 27/01/2010 à 23h15